Herboristerie

Grâce à ma formation en herboristerie familiale avec l’herbothèque, j’ai acquis les fondements de l’herboristerie traditionnelle et des connaissances pour faire face aux problèmes de santé les plus courants sur le plan familial et personnel. Une belle passion qui s’éveille !

Se soigner avec les plantes médicinales, c’est un mode de vie !

La plupart des plantes sont NUTRITIVES ET TONIQUES et peuvent être consommées tous les jours. En plus d’être efficaces contre certains problèmes de santé, elles apportent de grandes quantités de nutriments, tonifient et dynamisent l’organisme entier ou un système en particulier.

Ces plantes travaillent souvent subtilement, mais leurs effets sont cumulatifs et se font sentir en profondeur. On les prend surtout en infusion, à raison de une à trois tasses par jour, à tour de rôle pour le plaisir ou sur de longues périodes pour profiter de tous leurs effets bénéfiques.
Il n’est pas question ici de remplacer les médicaments par des plantes, mais de parler du soutien qu’elles peuvent apporter au corps dans son processus de guérison.

Voici quelques notions et un petit cours d’herboristerie….

  • Infusion
  • infusion courte
  • décoction
  • teinture
  • huiles ou onguents ?

Voici de quoi démêler un peu tout ça…

Lorsqu’on prépare une infusion, on dépose feuilles, fleurs ou racines d’une ou de plusieurs plantes au fond d’un contenant et on y verse de l’eau bouillante. On laisse ensuite reposer puis on tamise le liquide avant de boire. Commencez par utiliser l’équivalent d’une cuillère à thé de plante par tasse d’eau et ajustez ensuite la quantité au goût.

Pour faire une décoction, on ajoute de l’eau froide à la plante sèche déposée dans une casserole. On amène le tout à ébullition et laisse mijoter doucement de 20 à 30 minutes. On fait ensuite refroidir et on tamise avant de boire.

Les teintures sont des extraits de plantes préparées à l’aide d’alcool. Les extraits liquides de plantes peuvent aussi être préparés à l’aide de vinaigre de cidre ou de glycérine végétale. On en dilue habituellement quelques gouttes, selon le dosage recommandé, dans un peu d’eau ou de jus pour les consommer.

En usage externe, on peut aussi utiliser des huiles macérées et des onguents. Dans le premier cas, on a simplement laissé macérer les plantes dans une huile végétale, puis on a tamisé la préparation. Dans le second, cette huile macérée a été solidifiée avec de la cire d’abeille ou de la lanoline, une graisse issue de la laine de mouton.

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